ECOfunerales https://www.ecofuneral.es/ con perspectiva ambiental Fri, 07 Jun 2024 09:53:23 +0000 es hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7 https://www.ecofuneral.es/wp-content/uploads/2018/10/cropped-favicon-32x32.png ECOfunerales https://www.ecofuneral.es/ 32 32 Des fleurs bio pour remplir les adieux de poésie https://www.ecofuneral.es/articulos/des-fleurs-bio-pour-remplir-les-adieux-de-poesie Fri, 07 Jun 2024 09:53:23 +0000 https://www.ecofuneral.es/?p=3024 La notion d’enterrement écologique est encore très loin d’être quelque chose de général. L’impact que peuvent avoir des funérailles en Espagne, avec 420 000 décès par an, est largement ignoré. À l’Europe du Sud c’est encore nouveau, et c’est le monde anglo-saxon, le plus en vue sur ce sujet, qui a déjà publié des études, […]

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La notion d’enterrement écologique est encore très loin d’être quelque chose de général. L’impact que peuvent avoir des funérailles en Espagne, avec 420 000 décès par an, est largement ignoré. À l’Europe du Sud c’est encore nouveau, et c’est le monde anglo-saxon, le plus en vue sur ce sujet, qui a déjà publié des études, comme celle du Green Burial Council (Canada). Il estime que chaque année le secteur utilise 4.500 litres de liquide d’embaumement chimique (formaldéhyde), 97 tonnes d’acier, 2.000 de plus de béton et 17.200 mètres de bois tropical. Au-delà des chiffres, dire au revoir à nos proches, lors de cérémonies lâches, préparées rapidement, a un impact sur les matériaux, les ressources et le transport, et a aussi une grande répercussion sur le réchauffement climatique.

L’impact des fleurs

Les décorations végétales représentent une part importante de ces dommages causés à l’environnement. Œillets, roses blanches, marguerites, chrysanthèmes ou lys naturels semblent très authentiques, mais réunis en couronnes ou ornements plus complexes, ils proviennent pour la plupart (75%) de pays très lointains (notamment Afrique du Sud, Colombie, Equateur ou bien Hollande). Leur voyage a une charge carbone (calculée à 12 000 kilomètres en moyenne, en avion, camion ou bateau, qui s’ajoute à l’énergie utilisée et à la réfrigération), et un impact sur les sols dû à l’utilisation de pesticides. Ce sont des objets qui décorent, qui sont utilisés et jetés, et qui finissent dans les décharges avec l’empreinte méthane qu’ils entraînent.

L’autre option jusqu’à présent était le plastique, une matière docile et flexible, imperméable et résistant, mais très toxique (en raison des différents additifs), légère source de carbone s’il est chauffé, et dégradable sur une longue période (entre 500 ou 1.000 ans).  Les fleurs certifiées, issues de producteurs locaux, biologiques et transformées en compost, constituent aujourd’hui une minorité risible.

Le projet d’Alex Hackett

Des alternatives émergent progressivement. L’atelier d’Alex Hackett, artiste minimaliste, designer infatigable, avec 20 ans de travail derrière elle, en est un exemple. Située en Occitanie, dans la commune de Castries (près de Montpelier), elle présente des pièces uniques, artisanales, découpées en papier et porcelaine, réalisées avec soin et importées de pays comme le Bhoutan, les Philippines ou le Népal, en raison de leur fabrication particulière. Elle vend des bijoux (comme des colliers ou des boucles d’oreilles) et des motifs plus floraux (comme des centres de table ou des ornements) qui décorent les maisons et les magasins. Distribue aux détaillants en France, Suisse, Italie, Belgique, Japon, Islande, Luxembourg et États-Unis. Et elle travaille depuis longtemps, avec des marques connues, comme Dior ou Swarovski, catapultant un métier qui est passion et effort.

Des fleurs respectueuses pour les centres funéraires

A la mort de sa mère, l’entrepreneure Alex Hackett, née à Karachi (sur la côte pakistanaise), adoptée ensuite en Grande-Bretagne, diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts de Liège (au sud de la Wallonie) et installée en Occitanie, réfléchit à quelque chose de différent, avec un sens pour toujours. Le plus bel hommage, le grand cadeau qu’il a conçu, a abouti en août dernier à un projet pionnier : une nouvelle collection de décorations florales, de treillis en papier et en porcelaine, destinée aux cercueils et aux allées funéraires. Un catalogue avec cinq options, axé sur les cimetières mais aussi sur les familles, 100% réutilisable et durable. Un modèle écologique terminé par des étamines et des pétales aérés, soutenus par des tiges de fer et reliés aux branches d’un bon saule.

Une option déjà disponible et très rare dans son concept, conçue pour répandre la joie dans une période si difficile et d’une manière différente. Commencer à changer la façon d’aborder les funérailles, dans le respect de l’environnement, est le grand objectif. Tout cela dans un État comme la France, qui a déjà fait un premier pas, avec des sites funéraires comme Ivry-Sur-Seine, en région parisienne, avec une approche inédite et convenable pour la planète. Un pays où le concept fait son chemin, avec des études de marché réalisées par la même équipe Hackett, qui montrent un intérêt pour aller vers un système beaucoup moins nocif. Et pourtant, le chemin est encore long, car 80 % des centres funéraires n’envisagent pas cette option.

Alex sait que l’éthique est belle et extrêmement essentielle, mais qu’elle doit être durable et viable. Pour cela, elle s’est entretenue avec Fondation Terra, qui l’a accueillie dans son bureau, pour trouver de nouvelles façons de diffuser le projet. Il a déjà communiqué l’idée, qui n’a pas de précédent ni en Catalogne ni en Espagne, ou qui devrait être présentée, à de petits cimetières comme Auberville (une petite ville normande de 500 habitants) et se tourne maintenant vers deux salons pour nouer davantage de contacts : Juin à Toulouse, et l’automne à Lyon. Avec cette tâche, on entend modifier les consciences et implanter davantage de rituels funéraires avec de l’art et des fleurs, sans nuire à l’environnement, pourquoi pas à Barcelone ?

Fondation SENS

Et à l’horizon, une idée escompte de devenir réalité. Elle l’attend depuis longtemps et peut-être que l’esprit l’aidera. Cela refermerait certainement ce beau cercle de poésie scrupuleuse, d’environnementalisme respectueux et de propreté. Il s’agit de créer, après ce travail, une petite fondation, appelée SENS (pour son mot anglais «Sense»), qui justifie en quelque sorte le grand engagement et les efforts consacrés. Une nouvelle entité nourrie de bénéfices mais aussi de cotisations, qui reste encore à imaginer. Le projet le plus proche est d’aider un orphelinat, aucun en particulier, mais en Inde, où aider les pauvres et les castes inférieures n’est pas facile. Le travail humanitaire la ramène à son enfance et la confiance et le courage lui diront comment et quand. Maintenant elle marche, c’est la graine qui manquait, et elle progresse fermement et inaltérablement vers un monde d’affection, de tolérance et de respect envers ce qui est naturel.

 

LIENS D’INTÉRÊT :

Site Web d’Alex Hackett:

https://www.alexhackett.com/

Article sur la création du premier cimetière écologique de France (Cimetière d’Ivry-Sur-Seine, Paris, 27/09/2019):

https://www.paris.fr/pages/un-espace-funeraire-ecologique-au-cimetiere-d-ivry-7143

NOUS AVONS PUBLIÉ HIER… “Despedir con flores ecológicas” (Ecofuneral.es, 2017):

https://www.ecofuneral.es/articulos/despedir-con-flores-ecologicas

RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE (Sur les écofunérailles):
Perspectiva Ambiental (numéro 35). Monographie “Ecofunerals”. Fundació Terra, 2005, https://www.terra.org/categorias/libros/perspectiva-ambiental

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Los complejos de inicineración y entierro de animales se encaminan al ecologismo de manera natural https://www.ecofuneral.es/articulos/los-complejos-de-inicineracion-y-entierro-de-animales-se-encaminan-al-ecologismo-de-manera-natural https://www.ecofuneral.es/articulos/los-complejos-de-inicineracion-y-entierro-de-animales-se-encaminan-al-ecologismo-de-manera-natural#respond Thu, 25 May 2023 15:36:50 +0000 https://www.ecofuneral.es/?p=2974 Los animales salvajes, viven y fallecen en su medio, y conforman la segunda parte del ciclo de vida en un entorno que mantiene el equilibrio por la acción de los depredadores (carroñeros) o los descomponedores (meramente hongos y bacterias). Pero los de compañía mueren en los domicilios o en las clínicas veterinarias, y precisan de […]

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Los animales salvajes, viven y fallecen en su medio, y conforman la segunda parte del ciclo de vida en un entorno que mantiene el equilibrio por la acción de los depredadores (carroñeros) o los descomponedores (meramente hongos y bacterias). Pero los de compañía mueren en los domicilios o en las clínicas veterinarias, y precisan de un trato legal y ético adecuado, ya que no se incluyen en la rueda secular del marco natural que es compensado de manera intrínseca.

El respeto hacia otros animales debería comenzar en vida y ser la norma persistente, sin que nadie busque nada a cambio ni con ello cubra un lujo o un capricho. Sin embargo y todavía, bien que al alza, suele ser una excepción, y aún en demasiadas ocasiones se concibe lo que debería ser un compañero en igualdad de condiciones y derechos como un baladí juguete que puede esperar a nuestro antojo. 

Difiriendo de lo que acontece con humanos, los decesos de animales son más recurrentes, puesto que la mayoría viven menos años, y hay que prepararse para ello en su adopción o adquisición. Es normal, en el momento en el que ocurren, sentir pena y un dolor profundo, que serán de matices diversos según la experiencia. Pero existe todavía quien asocia esta conducta a extravagancias, y cierto es que la empatía con especies muy distintas más allá de la obtención de un beneficio no es común por mucho avance que haya habido. La muerte es, en este aspecto, una ocasión muy clara para ahondar en conexiones más profundas, reencontrar el equilibrio y honorar a aquellos que comparten el planeta y parte de la vida con nosotros.        

Prohibición de enterrar animales en espacios no habilitados

En el estado español no hay una norma común que rija el rito funerario, y son las autonomías las que tienen competencias para regularlo. Esto trae la consecuencia de marcadas diferencias entre un sitio y otro, y es preciso consultar en cada caso la legislación local. Los distintos reglamentos de Policía Sanitaria Mortuoria, deben enlazarse con las normas que hacen referencia a la gestión de los residuos y a la salud pública. Combinando estos factores puede verse que en Madrid no pasa nada si se arroja un cuerpo inerte en un container de basura, cuando en la mayor parte de sitios es un hecho sancionable. En el caso que exponemos a modo de ejemplo, que es la situación de Cataluña, no se puede sepultar a un animal en el jardín de casa o en el monte. Primero porque es ilícito. Y después porque se suele argumentar, aunque se está investigando, que si ha muerto por un virus o bacteria, la enfermedad puede trasladarse a otros animales y también, cuando es zoonosis, hacia los humanos. 

     

Trámites precisos

Ante el óbito de un animal de compañía, sea perro, gato, hurón, anfibio, réptil o ave, deben seguirse unos pasos muy sencillos. Hay que dar de baja al individuo del registro que le corresponda, por medio del chip de identificación obligatorio, y acordar con el ayuntamiento o el veterinario su traslado hacia un complejo funerario. Como ocurre en las personas, un animal puede ser incinerado o enterrado. En el primer caso algunos municipios disponen de una asistencia de traslado y quema colectiva a bajo coste, donde no pueden recuperarse las cenizas. De otra parte existen complejos privados, aunque pocos, que ofrecen la posibilidad de una incineración individual, y la espera y despedida en tanatorios. Por lo que hace referencia a inhumaciones, y obviando proyectos no consolidados, hay dos cementerios en el Principado habilitados para entierros de animales: el complejo “Última Llar” en la demarcación de Tarragona, y el “Cementiri de Petits Animals” de Torrelles de Llobregat.  

      

Cementerios de Animales (El caso de Torrelles)

Si se habla de Ecofunerales la principal regla que debe considerarse es la prevención de residuos. Generar muy pocos o casi ninguno es norma natural del primer centro, y el de referencia en Cataluña, para entierro de especies no humanas. Desde 1972, y por iniciativa de Assumpta Padró y su padre, que chocaron con la imposibilidad de trasladar el cuerpo de su perra inerte hacia un lugar seguro, nació en Torrelles de Llobregat (Baix Llobregat, demarcación de Barcelona) el Cementiri de Petits Animals. Hasta ahora, y de manera muy vocacional y solidaria, el recinto acoge nichos y fosas comunes o individuales, que alquilan por precios módicos que van desde los 10 hasta  los 70 euros anuales. La capacidad total del camposanto es de 800 animales y cada año se efectúan unas 100 inhumaciones (cuerpo con una ligera manta o sábana, mayoritariamente) donde destacan por número los perros y los gatos, pero también los conejos, los roedores, las iguanas, los reptiles, y aves como loros, patos o gallinas. 

El complejo precisa de escasa luz y gasta muy poca energía. No consume casi combustible, ya que los traslados de animales, en un 98% de los casos, los hacen los mismos propietarios. Para el riego se siembran especies resistentes a la falta de agua, y en momentos de carencia como es el presente se reducen los caudales a lo máximo posible. Plásticos no abundan, ya que los recordatorios suelen ser con plantas naturales, y hasta los trabajadores han tornado en botellas de vidrio los envases de manutención. La pizca de tiza que surge del movimiento de los nichos se recoge, y en cuanto a la poda, los desechos de jardinería (ramas y hojas, meramente), se acumulan para ser llevados, una vez cada dos meses solamente, al Punto Verde.

   

Centros de Incineración (Tanatori de Mascotes)

El caso de la incineración es más complejo, porque depende en gran parte, todavía, de algún combustible fósil. Se hacen igualmente esfuerzos muy notables para reducir impactos, aunque sean en los centros de animales, por volumen, mucho menos numerosos que en los destinados a personas. Tanatori de Mascotes es la empresa más longeva en este campo. Desde 2002 ha ampliado sus servicios y dispone ya de tanatorios y hornos crematorios en tres poblaciones: Polinyà (Vallès Occidental, 2002), Riudarenes (La Selva, 2004) y Barcelona (2017). Lo coordina la que es otra amante de los animales, Isabel Farré, veterinaria de formación. Ofrece la recogida y el transporte desde las distintas clínicas o domicilios. Da a elegir entre la incineración colectiva (más barata y sin cenizas) y la individual, que está abierta, con espacios velatorios adaptables, para aquel que quiera despedirse de manera más cercana. Trata el duelo con cuidado y organiza hasta talleres a profesionales para tener la delicadeza que es precisa con los afectados en los diversos momentos del proceso (acto de eutanasia, comunicación de muerte, trámites o entrega de cenizas).

Por lo que hace referencia a la reducción de emisiones y contaminantes, hay que recalcar de un lado que la empresa ha convertido todas sus instalaciones crematorias, que antes funcionaban con gasoil, a un sistema de gas natural o gas propano, combustibles que tienen mucha más eficiencia y que reducen un 46% la emisión  de material particulado, y en más de una cuarta parte los gases de efecto invernadero como lo son el metano (CH4), el dióxido de azufre (SO2), los óxidos de nitrógeno (NOx) y el dióxido de carbono (CO2) (Figura 1).   

 

Los complejos de inicineración y entierro de animales se encaminan al ecologismo de manera natural
Figura 1 (Ministerio para la Transición Ecológica y el Reto Demográfico)

La despensa de energía es más alta en la incineración individual, donde el combustible es solo un cuerpo, que por cierto se introduce sin atuendos para reducir cualquier contaminante innecesario. El horno anda dividido en dos compartimentos bien diferenciados, dos puertas de entrada, que separa una pared en medio. El proceso necesita alcanzar más de 850 grados, temperatura que suele traspasarse, parcialmente, al otro lado. Esto hace que el calor esté latente y permanezca largo rato, circunstancia que permite no partir de cero y emplear menor esfuerzo en una nueva cremación. Los filtros no existen, puesto que el sistema ya dispone de un modo de purificación que decanta los sólidos mezclados con los gases, y los trata ya después como residuos. Un funcionamiento, que pasa una extensa revisión cada tres años, y permite detener la polución de cualquier tipo hacia la atmósfera. 

Tanatori de Mascotes ultima también nuevos modelos de urnas biodegradables, que van a sumarse a las ya disponibles, hechas a partir de sal, cerámica o cartón. Practica más bien tanatoestética a los animales (peinado y aplicación de espray o de desodorante) con la mínima porción de químicos. Tiene cuidado especial en la separación de los residuos, más estricta en Riudarenes, donde el municipio ya ha implantado el sistema de recogida puerta a puerta. Y optimiza mediante un control de GPS los trayectos de los coches de transporte. Queda pendiente por otro lado, y a causa del alto coste, el cambio hacia una flota híbrida o eléctrica. Y aunque se ha venido contemplando, la adopción del método de cremación o ultracongelación por medio de nitrógeno licuado, propuesto hace 20 años, está aún lejos de desarrollarse plenamente y ser posible en la legislación. 

 

 

 

ENLACES DE INTERÉS: 

SITIO WEB DEL “Cementiri de Petits Animals” DE TORRELLES DE LLOBREGAT:

https://cementeriomascotas.es/

REPORTAJE SOBRE EL “Cementiri de Petitis Animals” EN EL PROGRAMA Islàndia (RAC 1, 02-12-2019): 

https://www.rac1.cat/programes/islandia/20191202/472011388264/cementiri-animals-torrelles-de-llobregat-gossos-gats-islandia-albert-om.html

WEB DEL “Tanatori de Mascotes” CON CENTROS EN BARCELONA, POLINYÀ Y RIUDARENES: 

www.tanatoridemascotes.com

WEB DEL CEMENTERIO “Última Llar” (Riudoms, Tarragona): 

https://ultimallar.cat

WEB DE LA “Funerària Cel Amic” (Sant Fruitós de Bages, Barcelona): 

https://celamic.cat/

BREVE ARTÍCULO SOBRE EL ANUNCIO DEL NUEVO PROYECTO PARA HABILITAR UN SERVICIO MUNICIPAL DE INCINERACIÓN EN BARCELONA (Diari Ara, 13-03-2023): 

https://www.ara.cat/societat/barcelona/barcelona-tindra-cementiri-municipal-mascotes_1_4649416.html

EXPLICACIÓN DE LAS ALTERNATIVAS EXISTENTES PARA INCINERACIÓN, Hidrólisis Alcalina y Nitrógeno Líquido, PROS Y CONTRAS (Ecofunerales, 2018 y Funeral Natural, 2021): 

https://www.ecofuneral.es/articulos/cremaciones-verdes

https://www.funeralnatural.net/articulos/dudas-razonables-sobre-la-ultracongelacion-funeraria

REGLAMENTO DE POLICÍA SANITARIA MORTUORIA DE LA GENERALITAT DE CATALUNYA (Decret 297/1997, de 25 de Novembre): 

https://portaldogc.gencat.cat/utilsEADOP/PDF/2528/97747.pdf

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Ya hace más de un par de décadas que el mundo anglosajón ha contemplado el auge de los funerales verdes. Particularmente en este marco ha visto el crecimiento de ataúdes realizados con un material alternativo. Se usan de manera habitual en su fabricación el corcho, el cartón reciclado, el cáñamo, la lana orgánica o el algodón. Y vienen proliferando el mimbre (fibra que se obtiene de un total de tres arbustos del género Salix, sauces), las hojas de plátano, el bambú, el ratán (planta trepadora originaria de los bosques tropicales de Asia y África Oriental) y hasta las algas marinas. El contexto y la legislación favorecen este avance en pro de la naturaleza. Y los grandes centros certificadores y asesores, como lo son el Green Burial Council en los Estados Unidos o el The Natural Death Center en el Reino Unido, se encargan de designar un féretro como ecológico después de ser sometido a auditorías muy estrictas.  

Legislación española

Nada o poco de esto existe todavía en España. La ley general concreta en la materia (Decreto 297/1997, de 25 de noviembre, por el que se aprueba el Reglamento de Policía Sanitaria Mortuoria) manda que las cajas de traslado del cadáver estén hechas de madera con refuerzos de metal. Y en el caso de los féretros de entierro expone textualmente que “podrá ser sustituida la madera por otros materiales, siempre que hayan sido aprobados por la Dirección General de Sanidad, mediante resolución publicada en el Boletín Oficial del Estado”. Las distintas normas autonómicas tienen capacidad para reforzar la base estatal, aunque en mayoría no dan pasos más allá y carecen de una actualización reciente. 

Certificaciones

A todo esto la única etiqueta certificadora independiente, Ecoterra (modestia aparte y reconocimiento a los predecesores en la Fundació por haberla impulsado), funcionó entre los años 2014 y 2018. Constituyó el sello pionero para comprobar de forma independiente que los ataúdes eran fabricados con maderas y otros materiales vegetales sostenibles, que favorecían regeneración del bosque y no arrojaban emisiones tóxicas en el proceso de incineración o inhumación. Eurocoffin, fábrica del grupo Mémora ubicada en Barcelona, fue la única que confió en dicha etiqueta y avaló siete modelos de ataúdes que aún sigue elaborando bajo los mismos pretextos, aunque ahora sin proceso posterior de verificación. Esta factoría sigue siendo la más prominente en la materia y en 2021, los últimos datos de que se dispone, aumentó en un 4,95% su confección ecológica respecto a 2020 y la situó en un 89,31% de su producción total.    

A falta de un verificador independiente, solo existe en España la norma de Fabricantes de Ataúdes UNE 190001, que señala unos estándares comunes como son disposiciones fitosanitarias, y otras condiciones de humedad o de resistencia mecánica. Clasifica los distintos féretros de forma más global entre genéricos o ecológicos, y para estos últimos conviene la prohibición de utilizar vidrio o cristal y la obligación de cumplir con la legislación sobre los compuestos orgánicos volátiles (los que emanan de su combustión). AENOR Medio Ambiente, es más bien un guiño al negocio, una marca de libre elección para los productores, que acredita únicamente que se cumple con el sello UNE 190001.

El estándar Europeo (EUTR)

En Europa todos los productos de madera tienen que cumplir con unos mínimos que ha acreditado hasta el momento la European Timber Regulation (EUTR). En vigor desde el pasado 2013, es básicamente un edicto que pretende estipular un mínimo de condiciones sostenibles. Entre los puntos más destacados que contempla prohíbe la venta o distribución de una madera que provenga de aquellas explotaciones ilegales o dañinas para los ecosistemas, y obliga a los comerciantes a guardar algún registro de la trazabilidad de sus proveedores. Merced al acuerdo alcanzado por el Consejo y el Parlamento Europeos el 6 de diciembre de 2022, deberá aprobarse muy próximamente un nuevo reglamento para reducir la deforestación a escala planetaria, una ley que va a sustituir a la EUTR. La madera en esta, junto a otras 6 materias primas (cacao, palma, soja, caucho, ganado vacuno y café) estará sujeta a un nuevo marco normativo para poder comercializarse en el mercado de la Unión.                                        

Certificaciones de madera sostenible

Deben comprobarse de manera prioritaria dos parámetros cuando una empresa acude voluntariamente a una tercera compañía para acreditar la calidad medioambiental de sus productos. Que la gestión forestal sea sostenible (Certificación GFS) y que la custodia o suministro cumpla con los requisitos mínimos de respeto al entorno (Certificación COC). Aunque existen varias compañías más pequeñas que se encargan de la auditoría, hay dos sellos a nivel mundial que prevalecen: el Forest Stewardship Council (FSC), promovido en California y creado en su assamblea del 93 en Canadá (Toronto), y el Programme for the Endorsement of Forest Certification (PEFC), que tiene sede en Ginebra (Suiza), actúa desde 1999, y rige para la mayor parte de Europa. Aunque sus vistosas etiquetas siguen un proceso estricto y regulado de acreditación, hay algunos puntos que aún escapan a sus consideraciones, y no pocos bosques que a pesar del sello no son gestionados de la forma que cabría esperar. 

Más allá se encuentran asimismo sistemas de certificación aplicados solamente en países concretos, como el Sistem Verificasi Legalitas Kayu (SLVK) de Indonesia o el Peninsular Malaysia Timber Legality Assurance System (MY TLAS). 

El ejemplo de Funeraria Albacete     

En España, y a pesar de las limitaciones que se han visto, se produce una considerable cantidad de madera de calidad y de proximidad. Proviene básicamente de explotaciones de pino (Pinus nigra), de álamo (Populus sp) y de aliso (Alnus glutinosa) con procesos de obtención que cumplen en su mayor parte con los criterios de silvicultura ecológica. En el caso de los féretros, la madera se combina con añadidos como los acolchados y barnices, y estos en su mayoría siguen empleando compuestos sintéticos que contribuyen a la contaminación por no ser degradables y emitir sustancias tóxicas en el proceso de incineración. Pero mal que sea tímidamente, los brillos empiezan a obtenerse meramente a partir de agua, y algunos entapizados se realizan ya con algodón. 

Entre las empresas que en estos últimos años se han sumado al carro de la promoción mortuoria sostenible se halla la Funeraria Albacete, que desde 1985 opera en la provincia castellana al amparo de la Funeraria Salas. Esta acaba de lanzar un plan para generar bosques con la colaboración de Ayuntamientos y ciudadanía en zonas reservadas, y exige para sus ataúdes sellos de madera sostenible y la prohibición de accesorios y metales que resulten tóxicos. Asimismo promociona y asesora en la utilización de urnas biodegradables e insta a comprar féretros que ya se están confeccionando en el marco peninsular con material alternativo como puede ser el cartón reciclado, el bambú, la lana, el algodón, las algas, las hojas de plátano, el mimbre y otros elementos naturales como la caña de azúcar, o la cáscara de arroz o de patata.   

Cabe destacar que el uso de materia natural no solo evita la emisión de sustancias contaminantes a lo largo de su quema, sino que es también muy relevante para lo que ocurre en el subsuelo después de ser enterrado. Una estaca de madera tarda entre 2 y 3 años en descomponerse. Si a esta se le añade solo un tipo de pintura el proceso puede prolongarse hasta dos décadas. 

 

ENLACES DE INTERÉS:

ESTUDIO COMISIÓN EUROPEA “Report: Study on Certification and Verification Schemes in the Forest Sector and for Wood-based Products” (European Comission, Directorate General for Environment, 2021):

https://op.europa.eu/en/publication-detail/-/publication/afa5e0df-fb19-11eb-b520-01aa75ed71a1/language-en

DIRECTORIO DE CERTIFICACIONES DE MADERA (MITECO): 

https://www.miteco.gob.es/es/biodiversidad/temas/internacional-especies-madera/madera-legal/sistema/certificacion-forestal.aspx

WEB DE FUNERARIA ALBACETE: 

https://funerarialbacete.com

GUÍA DE LAS DIFERENTES LEGISLACIONES FUNERARIAS EN ESPAÑA: 

https://www.consumoteca.com/familia-y-consumo/normativa-servicios-funerarios/

MÁS INFORMACIÓN SOBRE LA NORMATIVA UNE 190001: 

https://adeqa.com/consigue-certificacion-marcado-ce/une-en-190001-fabricacion-ataudes/

WEB DEL FOREST STEWARDSHIP COUNCIL (FSC): 

https://es.fsc.org/es-es

WEB DEL PROGRAMME FOR THE ENDORSEMENT OF FOREST CERTIFICATION (PEFC):

https://www.pefc.org

 

 

Foto: Unsplash

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El ritual funerario islámico: austeridad acorde con el ciclo natural https://www.ecofuneral.es/articulos/el-ritual-funerario-islamico-austeridad-acorde-con-el-ciclo-natural https://www.ecofuneral.es/articulos/el-ritual-funerario-islamico-austeridad-acorde-con-el-ciclo-natural#respond Tue, 31 Jan 2023 15:15:37 +0000 https://www.ecofuneral.es/?p=2922 Bajo tierra, exentos de ataúd y ornamentos, con el cuerpo envuelto en una blanca y simple tela, diseñada mayormente en lino o algodón, apoyado éste sobre el costado derecho y orientado hacia la ciudad santa de La Meca, para poder encarar, tras los salmos y oraciones provenientes del Imán o el sacerdote acreditado, con mejores […]

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Bajo tierra, exentos de ataúd y ornamentos, con el cuerpo envuelto en una blanca y simple tela, diseñada mayormente en lino o algodón, apoyado éste sobre el costado derecho y orientado hacia la ciudad santa de La Meca, para poder encarar, tras los salmos y oraciones provenientes del Imán o el sacerdote acreditado, con mejores garantías el juicio que decide el devenir de mujeres y hombres fallecidos en el rito de la media luna. Así es la inhumación que se contempla por la zona del islam. Un ritual que parte de mandatos como el que aparece en el versículo 2055 del Corán “De la tierra hemos venido, a ella vamos a volver, y es de ella que otra vez saldremos”. Edictos religiosos pero acordes con la idea del respeto a la naturaleza y con la concepción del tránsito como un retorno y parte del gran ciclo existencial. El lavado de los cuerpos (ablución) después de la defunción, sin atuendos ni añadidos químicos contaminantes y que priven de la sencillez que se precisa, las plegarias que acompañan en los últimos alientos y prosiguen a lo largo del conjunto de la ceremonia, o el solemne séquito de hombres que tan pronto como pueden trasladan el cuerpo al cementerio, son preceptos relevantes de igual forma con el fin de mantener la dignidad del fallecido y presentarlo de óptima manera ante los ángeles que deben decidir su porvenir. 

Contradicción con la ley

Las leyes y usanzas en los países árabes concuerdan y encajan en buena harmonía y con precisa conjunción. Pero aquellos musulmanes que residen y que acaban falleciendo en occidente chocan contra normas que a menudo no permiten la total celebración de rituales mortuorios en la forma convenida. En España se selló en el ‘92 un acuerdo de cooperación con la Comunidad Islámica. Un pacto pionero que reconocía su derecho a reservar parcelas en los cementerios, y a crear instalaciones propias destinadas a los musulmanes. El respeto y libertad de culto son disposiciones tan fundamentales que son punto de partida de otras muchas que refleja la constitución. Sin embargo, no siempre ha encajado esta premisa con las pautas sanitarias y mortuorias, que se encargan de dictar las 17 autonomías.

El principio contradice la legislación, y por ello es necesario convenir de nuevo con las partes implicadas y acordar un equilibrio que precisa de cesiones mutuas para proceder de la mejor manera. Para poner tres ejemplos, no está permitido, con la excepción de Andalucía (Reglamento de la policía sanitaria mortuoria de dicha comunidad, Decreto 35/2001) enterrar sin ataúd, trasladar el féretro en los hombros y sin coche habilitado, o inhumar en menos de 24 horas a un difunto. Las costumbres mahometanas son reacias asimismo a exhumar los huesos de las tumbas salvo en casos muy concretos, un precepto que origina en ocasiones un problema porque suele resolverse la falta de espacio con la redistribución de restos en oseras. La tradición manda, de otra parte, separar físicamente a sepulturas musulmanas de otras de creencias diferentes, cosa que no siempre puede conseguirse y que depende meramente de la voluntad o la capacidad del cementerio.   

Cifras generales

Poco a poco, y paralelamente al auge de la inmigración, los países europeos han venido incorporando leyes que permiten a los musulmanes enterrar sin confrontar con sus creencias. Se han tejido acuerdos, han crecido espacios en los camposantos públicos, y en menor medida se han construido emplazamientos específicos con dedicación focalizada a dar salida a los difuntos musulmanes. Ahora mismo y en el Viejo Continente, Suecia es quien lidera el número de cementerios con parcelas dedicadas al islam (más de 110). Siguen Francia y los Países Bajos (entorno a 70), Reino Unido (35) y España con 28. La más grande instalación usada en exclusiva para entierros musulmanes es el Gardens of Peace, ubicado en Ilford (Inglaterra), con capacidad de 10.000 plazas y extensión de 9 hectáreas de terreno. En Holanda la legislación permite prescindir del ataúd en las inhumaciones, y explicita que es posible proceder a las 24 horas (Dutch Corpse Disposal Act, 1991). Sin embargo y a pesar de todos los esfuerzos, la mayor parte de musulmanes se deciden por mandar los cuerpos hacia sus países. La repatriación sigue siendo la opción elegida en mayoría porque Europa todavía, y pese a la notable adaptación, no presenta condiciones pulcras para los creyentes. El laicismo de las leyes y los establecimientos eminentemente públicos, ya hace años que se enfrenta con el reto de ser plenamente acogedor, y evitar tanto contradicciones con sus propias normas como faltas de respeto hacia distintas confesiones.      

La parcela en Collserola

El ritual funerario islámico: austeridad acorde con el ciclo naturalEn el Estado Español, existen ahora mismo 25 centros dedicados al entierro islámico. 3 de ellos exclusivos para musulmanes (Ceuta, Fuengirola y La Puebla de Don Fadrique), y los otros con parcelas. En Andalucía se permite la inhumación directa, mientras que en el resto se convive con la práctica de la negociación y el contacto continuo con las distintas asociaciones. Catalunya no posee un cementerio propio, pero sí son cuatro los municipales que albergan áreas destinadas al islam (Terrassa, Manresa, Sant Antoni de Calonge y Barcelona). El de Collserola, que erigió un primer terreno acorde en el ‘97, sigue siendo el de mayor envergadura. Reformó la instalación en 2017, y  amplió su oferta en 2021, sobre todo por la imposibilidad de repatriar a causa de las restricciones. Cuenta ahora mismo con un reposado espacio que supera los 500 metros cuadrados, y mantiene más de un centenar de tumbas. Hay  60 disponibles y se tiene la posibilidad de triplicar capacidad, puesto que limita con un terreno sin uso.

Los recordatorios son, en el seno de este pulmón verde de la capital del Principado, humildes placas. Se vislumbran flores naturales, y se observan piedras pequeñitas esparcidas por encima de las sepulturas, que funcionan como símbolos eternos para un alma que perdura. La ley priva todavía de la inhumación directa, y las distintas tumbas, hechas de hormigón, contienen tres pisos para poder ubicar tres ataúdes de madera. No se entierran las familias en conjunto. Se comparten fosas con desconocidos pero nada es hecho sin hallar consentimiento con el colectivo (el consejo islámico, la comunidad pakistaní, el grupo de palestinos, los sufíes o  la misma embajada de Egipto). Y además hay previsiones optimistas. Cuando se precisen nuevas plazas estas serán ya individuales, y cumplirán la premisa del entierro separado y a un mínimo de 2 metros bajo tierra. Unas prácticas que son compaginables y se alinean con los pasos que han de conducir hacia un futuro realmente sostenible, también para aquello que hace referencia al mundo funerario.   

 

     

ENLACES DE INTERÉS:

ESTUDIO DE LOS RITOS FUNERARIOS ENTRE LOS MUSULMANES DE SEVILLA (Sol Tarrés, Universidad de Huelva, 2006).

INFORME: ESPAIS DE MORT I DIVERSITAT RELIGIOSA. LA PRESÈNCIA DE L’ISLAM ALS CEMENTIRIS I TANATORIS CATALANS. Jordi Moreras i Ariadna Solé. Generalitat de Catalunya (2014).

WEB DEL CEMENTIRI DE COLLSEROLA (QUE MANTIENE LA PARCELA MÁS GRANDE DESTINADA A ENTIERROS ISLÁMICOS) 

LEY 26/1992 DE ACUERDO DE COOPERACIÓN ENTRE EL ESTADO ESPAÑOL Y LA COMUNIDAD ISLÁMICA (Artículo 2.5 relativo al derecho de concesión de parcelas para entierros musulmanes).

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La conciencia de respeto hacia la naturaleza avanza, aunque despacio, también ahora en aquello que concierne a los entierros y la muerte. Sigue intacto el secreto, cesan poco los recelos, pero al menos se vislumbran pequeños indicios que dibujan un gran cambio a largo plazo. Roques Blanques, en el término municipal del Papiol, dentro del Parc Natural de Collserola, lanza des de la vertiente sur de la conurbación de Barcelona, un enfoque ecologista en su práctica diaria, que resulta casi única en Cataluña. Solo el cementerio de Pruelles (Sitges), sigue a su compás en la tarea de pensar la muerte como parte integral del ciclo de la vida, y conmemorar el tránsito hacia ella de manera respetuosa con todo el entorno. Gestionado por el Grupo Àltima, este centro público-privado, dependiente del Consell Comarcal del Baix Llobregat, se fundó en el 84, y después de 6 años (1990), empezó su andadura en la conciencia ecologista, que ha crecido y se ha consolidado a lo largo de la última década. 

Nichos, urnas y ornamentos sostenibles

En el año 2008, Roques Blanques adquirió por vez primera el certificado europeo EMAS (Sistema Comunitario de Ecogestión y Ecoauditoría), un sello voluntario destinado a reconocer a las empresas que adoptan un procedimiento de gestión medioambiental moderno, por el cual se comprometen a seguir con la mejora continuada y a evaluarse periódicamente, realizando auditorías de manera independiente. Una rúbrica de calidad  y de respeto que es la base desde donde este enclave de 50 hectáreas suma y difunde maneras más respetuosas de tratar la muerte e integrarla en el entorno.

El  “Bosc de la Calma” o el “Camí del Bosc”, son emblema de este cambio de mentalidad. Constituyen zonas fundidas en la naturaleza que acogen la inhumación de urnas que contienen las cenizas del difunto. Urnas hechas con los más diversos materiales biodegradables, como pueden ser la sal, la arena o varios tipos de madera, que pasan a ser posteriormente descompuestas y originan un impacto cero sobre el medio. El recordatorio acomodado para el fallecido, pasa progresivamente de la piedra a otros materiales más acordes con el suelo ajardinado, y se promueve, a su lado, la plantación de árboles autóctonos como lo son el alcornoque, el pino blanco o la encina. 

La “Font del Repòs” culmina este trabajo que básicamente contribuye a evitar el abandono de las cajitas que sirven para custodiar cenizas en el medio natural. Ahí los restos del difunto se disipan por el relajado estanque o se diluyen en tan solo 10 minutos mientras una placa conmemora el nombre que tenía en vida. Una urna fabricada mayormente en gelatina tiene más facilidad de derretirse cuando se le aplica agua caliente.

Entre otros entresijos y características, Roques Blanques promociona asimismo el uso de recordatorios naturales, flores que no sean plásticas, y de nichos recubiertos de vegetación, o que por lo menos anden integrados en un todo arquitectónico que ya fue precisamente diseñado para ser afín y fiel con el paisaje.          

Esplendor de biodiversidad

En mayo de 2008, el cementerio suscribió un convenio colaborativo con el ente, el Consorci, que gestiona el Parc de Collserola. A través de dicho acuerdo se ofrecía ya una ayuda para mantener, conservar y difundir las particularidades de este espacio natural. Entre otras actuaciones, se ha venido fomentando desde entonces la presencia e implantación de especies vegetales propias, como lo son los arbustos aromáticos omnipresentes, romero, lavanda o tomillo, sobre todo. Se ha evitado, asimismo, de instalar cercados para frenar la entrada de jabalíes, con el fin de respetar la conectividad de hábitats distintos y dejar intactos los pasos de fauna. Y también se ha incentivado la presencia de algunos taxones que andan en cierto declive, con proyectos colaborativos que persiguen la reintroducción de erizos, de murciélagos o ardillas, mediante la implantación de cajas nido y de refugios en los árboles. 

Unas actuaciones destinadas a biólogos y ambientólogos que proceden meramente del Museu de Ciències Naturals de Granollers, y entre las que cabe destacar también, la disposición de 4 apiarios que fomentan mediante colmenas la alta polinización de las abejas y la producción de miel y cera, con la que posteriormente se elaboran velas que se distribuyen entre los clientes. Las acciones, que buscan multiplicarse progresivamente, cuentan de otra parte con algunos gestos solidarios y absolutamente imprescindibles, como la acogida, cuidado y manutención de un grupo de perros que habían sido abandonados. 

Importante ahorro de energía

El 37% de la flota de automóviles usados en la actividad del centro son ya totalmente eléctricos. Se concibe este progreso como un paso intermedio al uso del hidrógeno, que es una energía totalmente limpia. No es posible, de momento, que este porcentaje sea más alto, por el elevado coste de la transición, y por causa de la imposibilidad e inviabilidad de conducir coches mortuorios en trayectos largos, ya que faltan estaciones de recarga. 

Se medita en la manera de producir la energía requerida mediante paneles o tecnología de transformación fotovoltaica, un modelo que ha de implementarse poco a poco en los siguientes años, y se impulsan estudios periódicos de huella de carbono, para ver las áreas en que puede mejorarse y ser conscientes del ahorro que suponen las medidas ya existentes. Por lo que concierne al agua, se ha adoptado un sistema  controlado por sensores que detectan la humedad del suelo e impiden el funcionamiento de los aspersores si el terreno ya está en buenas condiciones. 

Aminorar el impacto de los hornos crematorios

Àltima, la empresa que gestiona Roques Blanques, nace hace ya 3 siglos de la unión de 3 familias catalanas, y concierne un servicio funerario integrado, que gestiona también tanatorios y hornos crematorios. La incineración representa ahora mismo en Cataluña un 52% de las peticiones como opción ante el entierro y despedida a un ser querido. El gobierno estatal trabaja desde hace meses con las partes implicadas para aprobar un decreto que debiera publicarse sin mucha demora, y que pretende unificar y regular la actividad en este ámbito y disminuir las emisiones resultantes del proceso. De momento y mientras esta norma no se aplica, Roques Blanques, que dispone de un par de instalaciones de este tipo, mira de fortalecer todo este campo, e incorpora ataúdes más acordes, limpia materiales y ornamentos en los cuerpos que pudieran resultar perjudiciales y utiliza filtros que detienen los contaminantes resultantes de la combustión. Unos utensilios que resultan caros, sobre 200.000 euros, y que no salen rentables de momento a los pequeños crematorios catalanes, que concentran de manera escasa su actividad y que consecuentemente gastan energía extra, porque el horno no funciona continuadamente y no mantiene el poder calorífico entre una y otra quemación. Solo 5 centros en el Principado incorporan actualmente filtros descontaminantes.    

La inhumación directa y otras prácticas que ya se dan en países más avanzados en el ámbito como Inglaterra, Australia o Estados Unidos, todavía son aquí un proyecto. A parte de iniciativas en particular, su evolución depende en gran medida y paralelamente de la creación de opciones de certificados ecológicos unificados, y de la incentivación de nuevas normas más estrictas y específicas. 

 

 

ENLACES DE INTERÉS: 

Web de Roques Blanques: 

https://www.parc-roquesblanques.com

Web del Grupo Àltima: 

https://www.altima-sfi.com

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Morir, morimos todos. Es la muerte la única certeza que tenemos al nacer. Algunas culturas consideran este hecho parte de la vida, y la respetan, la muestran, la observan a los ojos, y la integran como un episodio adicional. Otras, sin embargo, la ignoran, la esconden, tratan de ocultarla y no la enseñan a los niños. Las primeras no le huyen, y aguardan sus consecuencias cuando es hora con serenidad, porque entraña simplemente en su esquema otro estadio, uno más, en el longevo ciclo natural. Las segundas la enmascaran cuanto pueden porque temen el final de su existencia artificial, construida y reforzada especialmente para extender la creencia de que el hombre puede y debe alimentar burbujas, alejadas por completo de los ritmos del planeta. Hay matices y una magna escala de colores de por medio, pero dichas dos posturas, los antagonismos más extremos, son ejemplo del respeto pulcro por la ecología y la “sostenibilidad” de un lado, y por otro del ataque ciego y por vanos motivos a recursos naturales si estos sirven al provecho sin ver nada más allá.

Las pistas de la etimología

La muerte ha acompañado de hace ya milenios actos y celebraciones a su alrededor. Ha centrado la atención de los grupos sociales y ha  llegado a nuestros días en formas distintas que delatan muy diversas formas culturales expresadas en el rito y el culto a la muerte. El tabú de lo desconocido y el funeral clásico y mayoritario practicado en el mundo occidental, lleno de ornamentos poco o nada sostenibles y en parte contaminantes, representa únicamente un puntito diminuto comparado con la vasta historia de las ceremonias mortuorias. Una idea de la muerte natural, de una integración de lo desconocido en el círculo vital y en el entorno, que sigue y mantiene actualmente medio mundo, sobre todo en las culturas que apodamos en un modo despectivo y lamentablemente como “indígenas”. 

Los primeros funerales ecológicos

Quizás por cuestiones culturales, o por mero liderazgo dentro del mundo capitalista, los países de religión protestante e influencia anglosajona (Reino Unido, Canadá, Australia, Nueva Zelanda y Estados Unidos) lideraron y siguen al frente todavía en la primera chispa de este cambio revolucionario. Una adaptación de la mentalidad que nació en paralelo a las primeras leyes de castigo a los vertidos y contaminantes, y a las pruebas de un inicio de desastre a nivel planetario. La conciencia ecológica, arropada por la robusta jurisprudencia y fuerte convicción en crecimiento, acabó aterrizando y revisando asimismo a mitad de los 80 cuanto envuelve al sector funerario. Después de años de un inmovilismo sacro varias voces en la Gran Bretaña comenzaron a escucharse cuestionando la madera utilizada para hacer los ataúdes, los barnices, los adornos, los metales y los plásticos abandonados en el medio como urnas, flores o recordatorios, la energía malgastada, el transporte, los residuos de la cremación, y a suma de cuentas lo antinatural que representa comprar nichos, organizar ceremonias, y venir a recordar los familiares en parajes totalmente artificiales. Eran las raíces del “Entierro verde”, mucho más que una moda pasajera porque entró para quedarse y se abrió paso progresivamente. 

The Natural Death Centre (Reino Unido)

La primera institución creada oficialmente para dar empuje a los ecofunerales fue el Natural Death Centre, una organización sin ánimo de lucro, con la sede en Winchester, considerada antigua capital de Inglaterra y principal ciudad del condado de Hampshire. Desde 1991 su función fue y sigue siendo todavía la de asesorar a los profesionales del sector mortuorio para organizar las ceremonias y entierros en pro de la ecología y la sostenibilidad, además de difundir valores entre la ciudadanía con el objetivo de lograr un cambio de mentalidad. La empresa altruista fue semilla y herramienta necesaria para el surgimiento de aquellos primeros cementerios con conciencia de respeto hacia la naturaleza. Después de tres años (1994) el nuevo sector en auge indujo gratamente al nacimiento de la Association of Natural Burial Grounds (Asociación de Cementerios Naturales), gestionada por la misma organización. Su razón de ser fue aquella de agrupar los cementerios ecológicos para andar todos a una y ofrecer ayuda y un servicio de consultoría, y a cambio exigir el cumplimiento de unas pautas resumidas dentro del Código de Conducta. No se trata de marcar rígidamente lo que debe hacerse. La filosofía, al contrario, parte de la libertad y la diversidad de opciones, siempre y cuando todas ellas tengan un impacto cero o mínimo con el ambiente.

Qué son y de dónde vienen los funerales ecológicos 

Crecimiento paralelo en otros países

Este brote que afloró a orillas del Mar del Norte se expandió rápidamente y de manera especial, por la zona de influencia cultural de habla inglesa. A final de los 90 la corriente eclosionó en Norteamérica, y en Westminster (Carolina del Sur), nació el primero de los cementerios ecológicos de Estados Unidos (1998). Un complejo “madre” que más tarde (2005) empujó a la creación del Green Burial Council, la pionera asociación que se encargó de marcar los estándares a centros, proveedores, productores e instalaciones de cremación. De otro lado y previo al boom de los 2000 en Australia y Canadá, fue en Nueva Zelanda donde la nueva conciencia prosperó con más presteza. Así ya en 1999 el archipiélago maorí vio surgir Natural Burials, la primera organización que gestionaba certificaciones funerarias ecológicas. Una institución que vio crecer más tarde el cementerio de Makora (Wellington, 2008) donde se fomenta la inhumación natural, eso es, el entierro directo en el suelo y sin sustancias que puedan contaminar, y también más adelante el de New Plymouth (2011), el de Otaki (2012) y el de la región de Marlborough (2014). 

Las cifras de hoy en día

Después de 30 años ya de recorrido, la conciencia ecológica en el ámbito mortuorio ha empezado a prosperar en países como Holanda o Francia, donde algunos cementerios como el de Niort o el de Ivry-sur-Seine (París) se desmarcan de la línea oficial. En España aquellas excepciones a la norma son aún contadas con los dedos de una mano, con centros en Barcelona, en Sitges y también en Albacete que intentan acercarse al concepto de ecofuneral, sin incluir todavía ni estar amparado por la ley el entierro natural. La tendencia, sin embargo, crece. En los países consolidados, ya hay cifras que hablan por sí solas y que inevitablemente inducirán a cambios más acelerados a su alrededor. A final de 2017 el Reino Unido registraba en conjunto 270 cementerios naturales y anualmente se cifraban en un 8% (12.000 de los 150.000 totales) los entierros ecológicos. Estados Unidos se acerca a los 100 centros censados, y algunas encuestas de opinión, como aquella realizada en Canadá (British Columbia, 2013), revelan tendencias positivas hacia un cambio de mentalidad, puesto que el 42% de la gente interpelada expresaba preferencia por servicios funerarios sostenibles.   

 

ENLACES DE INTERÉS: 

SITIO WEB DEL NATURAL DEATH CENTRE:
http://www.naturaldeath.org.uk/

FUNERAL NATURAL (WEB ESPECIALIZADA):
https://www.funeralnatural.net/

REFERENCIA BIBLIOGRÁFICA:
Perspectiva Ambiental (número 35). Monográfico “Ecofunerals”. Fundació Terra, 2005. 

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El Covid-19 ha dinamizado el mercado online de la defunción https://www.ecofuneral.es/articulos/el-covid-19-ha-dinamizado-el-mercado-online-de-la-defuncion https://www.ecofuneral.es/articulos/el-covid-19-ha-dinamizado-el-mercado-online-de-la-defuncion#respond Thu, 30 Sep 2021 07:00:05 +0000 https://www.ecofuneral.es/?p=2858 En España fallecen una media de 408.322 personas al año. La capacidad de gestión de las empresas es de unas 1.700 diarias. Durante los peores meses de la pandemia, solo en Madrid, el Covid-19 se cobraba unas 400 víctimas al día. Fueron meses en los que los servicios funerarios trabajaron desbordados y a contrarreloj por […]

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En España fallecen una media de 408.322 personas al año. La capacidad de gestión de las empresas es de unas 1.700 diarias. Durante los peores meses de la pandemia, solo en Madrid, el Covid-19 se cobraba unas 400 víctimas al día. Fueron meses en los que los servicios funerarios trabajaron desbordados y a contrarreloj por poder satisfacer la demanda, y no solo de manera presencial. Como ha ocurrido en la mayoría de los sectores de la economía, el coronavirus ha transformado sustancialmente el mercado online de la defunción.

Tal y como analiza el Observatorio Español de Internet, las restricciones presenciales y el Estado de Alarma han marcado un antes y un después en el eCommerce. Hay sectores que han duplicado su actividad respecto a 2019, poniendo de manifiesto hasta qué punto la crisis sanitaria ha cambiado los hábitos de vida. Uno de ellos ha sido justamente en el último adiós a los seres queridos. En la industria funeraria este aumento exponencial del consumo online se ha evidenciado en la forma de organizar sepelios, disparando la oferta de funerales telemáticos y memoriales a través de internet. La mayor parte de las despedidas debieron posponerse hasta la desescalada, pero en algunos casos pudieron realizarse ceremonias muy muy íntimas. 

Tampoco es que ahora convengan las grandes aglomeraciones, por tanto estos servicios siguen manteniéndose y el mercado online de la defunción sigue creciendo. Ejemplo de ello es la parroquia de San Agustín de Valencia, que oficia misa online. De la misma forma, el Cementerio de Madrid oferta la retransmisión del servicio funerario por videoconferencia. Sin duda un alivio para aquellos que no pueden despedirse de sus seres queridos desde cerca. 

Funerales en streaming

Por supuesto las empresas funerarias no han permanecido al margen. En ciudades como Barcelona, Zaragoza, Bilbao o Sevilla los familiares pueden optar a servicios de velatorio en streaming a través de Skype o YouTube, a libros de firmas virtuales, y a reuniones telemáticas por videoconferencia con otros seres queridos a través de grupos privados de Facebook u otras plataformas.

También han proliferado los cementerios online y las empresas que ofrecen redacción de biografías póstumas y hasta de testamentos digitales. Si bien la vía telemática no sustituye el calor humano que recibe la familia en un velatorio presencial, al menos ayuda a hacer presente la pérdida compartiendo el dolor colectivo. 

El Covid-19 ha dinamizado el mercado online de la defunción

No obstante, en España el mercado online de la defunción no se ha modernizado tanto como en Estados Unidos. Allí el 20% de las empresas funerarias ya ofrecían este servicio antes de la pandemia. Pero en algunas comunidades la aceptación de los funerales telemáticos ha sido notable. En Cataluña, el Grupo Mémora lleva tres años retransmitiendo en directo los velatorios de los tanatorios barceloneses, aunque prácticamente nadie lo demandaba. A causa del Covid-19 ahora no es así. Tan solicitado está este servicio, que los oratorios de sus tanatorios han sido equipados con hasta cinco cámaras y un innovador sistema de edición automatizado. 

El servicio de grabación y emisión del funeral en directo por internet vía streaming permite a aquellas personas que no puedan asistir de forma presencial a la ceremonia verla en directo o en diferido a través de la web. Una vez finalizado el servicio, se entrega a la familia una memoria USB con una copia de la grabación editada y en alta definición. 

eFuneraria, la primera empresa 100% online

Al mismo tiempo, otras empresas apuestan todas las fichas al mercado online de la defunción. Es el caso de eFuneraria, la única que en España ofrece todos sus servicios solo y exclusivamente a través de internet. 

Esta compañía trabaja para todos los tanatorios de España, y desde su web los familiares o amigos de la persona fallecida pueden acceder a cualquier tipo de servicio funerario que quieran contratar, desde el entierro o la incineración, a los posibles traslados, o la engorrosa burocracia a solventar. Todo mediante un número de teléfono disponible 24 horas para atender las necesidades de los familiares del difunto en tan duros momentos. 

En definitiva, el coronavirus nos está haciendo vivir la peor crisis sanitaria, económica y social de este siglo. Seguramente tardemos muchos meses en salir de esta, y probablemente la ‘nueva normalidad’ será muy distinta a la que había antes de que la pandemia estallara. La mayoría de las empresas, como motor económico tan importante para un país, han tenido que reestructurarse de arriba a abajo para poder seguir desarrollando su actividad. Al igual que la población ha adaptado su forma de vida con resignación. De modo que asistir telemáticamente al último adiós de un ser querido, algo que hace solo unos meses hubiera parecido una extravagancia, ahora se afronta como una consecuencia más de la pandemia. Aunque el Covid-19 no ha hecho más que acelerar cambios que ya pedían paso.

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Ataúdes de alquiler: a caballo entre la tradición y los futuros servicios funerarios 100% verde https://www.ecofuneral.es/articulos/ataudes-de-alquiler-a-caballo-entre-la-tradicion-y-los-futuros-servicios-funerarios-100-verde https://www.ecofuneral.es/articulos/ataudes-de-alquiler-a-caballo-entre-la-tradicion-y-los-futuros-servicios-funerarios-100-verde#respond Thu, 23 Sep 2021 07:00:49 +0000 https://www.ecofuneral.es/?p=2855 Los ataúdes son uno de los componentes de un servicio funerario que más eleva su coste. No solo económico (en España un funeral cuesta unos 3.500 euros de media y el 60% del gasto se va en el féretro), sino también por la enorme huella ambiental que dejan. Como denuncia la Fundación Tierra, en España […]

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Los ataúdes son uno de los componentes de un servicio funerario que más eleva su coste. No solo económico (en España un funeral cuesta unos 3.500 euros de media y el 60% del gasto se va en el féretro), sino también por la enorme huella ambiental que dejan. Como denuncia la Fundación Tierra, en España se fabrican generalmente con productos tóxicos. Y, por si fuera poco, algunos de los que se venden como ecológicos no cumplen con la normativa. Sin embargo, a las aseguradoras aún no se les ha ocurrido una solución tan sencilla como ofrecer un servicio ataúdes de alquiler. 

Por eso, igual sustituir o reutilizar los féretros tradicionales es el primer ámbito funerario que hay que corregir en nuestro país para que la muerte no deje un impacto imborrable en el entorno. Opciones hay. Desde promover la comercialización de féretros fabricados con materiales biodegradables y no contaminantes, hasta plantearse si los ataúdes de alquiler pueden ser una solución más ecológica. 

El uso temporal de una casa, un vehículo, e incluso prendas de ropa es una práctica común actualmente. Pero a muchas personas les echa para atrás la sola idea de alquilar un féretro para sus difuntos.

Para incineraciones y entierros

Sin embargo, no es un tema tan tabú como parece. En algunos países como Estados Unidos, es una alternativa común para los que buscan un funeral ecológico o más asequible. Así que prácticamente cada vez más funerarias ofrecen este servicio.  Además, los ataúdes de alquiler son una opción viable tanto en casos de incineraciones como de entierros. 

A la hora de decantarse por el alquiler de ataúdes, uno de los principales reparos es el de la higiene. En ningún caso el cadáver toca el interior del féretro, pues se coloca en una caja de madera en el interior. Este recipiente no se ve, puesto que su medida es idéntica a la del féretro. Al finalizar el servicio, la caja se saca y el ataúd está listo para ser reutilizado. Aun así, la funeraria debe desinfectarlo después de cada servicio. 

Ataúdes de alquiler: a caballo entre la tradición y los futuros servicios funerarios 100% verde

Un mecanismo parecido se usa en las cremaciones. Con los ataúdes de alquiler, el difunto solo permanece dentro durante el sepelio. No es necesario cremarlo también, porque contiene un recipiente interior que es el que se convertirá en cenizas junto a la persona fallecida. Este gesto le ahorra al medioambiente unas cuantas emisiones peligrosas procedentes de las lacas del féretro tradicional, o de las piezas de zinc del interior. 

Un funeral ecológico

En este sentido, el ecologismo es ya un modo de vida de cualquier sociedad progresista. Las nuevas generaciones pasan por el mundo intentando no solo no poner en peligro al planeta, sino ayudándole a sanar. De modo que los funerales ecológicos están ganando popularidad desde hace un lustro en España, y en otras partes del mundo son una opción totalmente aceptada. Ahora bien, tampoco el escenario es para tirar cohetes. Si en un país tan concienciado con la sostenibilidad como Estados Unidos tan solo un 20% de las inhumaciones emplea féretros ecológicos, ¿a los españoles qué nos queda? 

Igual los ataúdes de alquiler son una excelente alternativa a medio camino entre la tradición y los futuros servicios funerarios 100% verdes. Al fin y al cabo, para fabricarlos se usan productos ineficientes para el medioambiente, pero permite utilizar el producto final una y otra vez. Se necesita mucho tiempo y recursos para construirlos, por lo que darles varias vidas en lugar de usarlos como un producto de un solo uso es una buena manera de ayudar a la Tierra. 

A este respecto, tanto los féretros como las mortajas están hechos con materiales muy contaminantes. Ahora el sudario se fabrica con fibra elaborada a base de derivados del petróleo. De la misma forma, el ataúd está revestido con una cobertura interior de zinc, una barrera para que los líquidos exudados pasen al medio. Y como remate, son muchos los que suelen escoger maderas nobles, un material que conlleva la tala de árboles, así como una capa de laca o barniz con productos muy tóxicos. 

Entonces, hay algunos ritos en los funerales tradicionales que se pueden eliminar para reducir costes y evitar un impacto ambiental negativo. No embalsamar, omitir bóvedas de hormigón, optar por ataúdes biodegradables y proteger el hábitat natural del lugar donde se elige realizar el entierro. Incluso a veces, el finado no desea ser inhumado en un ataúd para descansar más cerca de la tierra, si bien esto aún está expresamente prohibido en España salvo excepciones en personas musulmanas. 

En definitiva, los ataúdes de alquiler pueden ser una alternativa tan válida como cualquier otra para reducir el impacto ambiental de la despedida de un ser querido. Pero para el que no le agrade la idea, existen muchas otras opciones más económicas y, sobre todo, más respetuosas con el medioambiente.

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De sobra es sabido que el entierro y la cremación son las dos modalidades más comunes para dar el último adiós a las personas fallecidas en las sociedades occidentales. De la misma forma, cada vez estamos siendo más conscientes de que en su forma tradicional están lejos de ser respetuosos con el medioambiente. Si bien la cremación se ‘vende’ como una alternativa más ecológica, requiere mucha energía y emite contaminantes al aire. De ahí que en los últimos años hayan proliferado la moda de los entierros verdes, en los cuales los ataúdes ecológicos disminuyen considerablemente el impacto ambiental. Y como valor añadido, también reducen los gastos del servicio funerario, puesto que aproximadamente el 60% del coste de un entierro se va en el féretro. 

Por tanto, la elección de un ataúd fabricado con materiales naturales que no dejen residuos contaminantes, no solo ahorra una notable cantidad de madera, sino que evita el impacto negativo en el entorno de los tintes y barnices con los que se adornan los féretros tradicionales. Válidos igualmente para incineración, los ataúdes ecológicos consumen un 60% menos de energía que los hornos y generan un 90% menos de emisiones, según Natural Death Center.

Tampoco faltan opciones. La variedad de ataúdes ecológicos a día de hoy es extensa, y en su oferta se pueden encontrar de materiales tan surtidos como el papel y el cartón reciclado, la madera contrachapada, el caño, el bambú de comercio justo o el mimbre tejido a mano. 

Ataúdes ecológicos en el mundo

Ahora bien, no en todos los países dan las mismas facilidades para comercializarlos. En Estados Unidos, Reino Unido y Canadá los ecofunerales están a la orden del día, así que en los servicios funerarios es habitual que las familias escojan ataúdes ecológicos para acoger al difunto. De hecho, hasta existe una normativa que define los productos funerarios ‘verdes’ e incluso los recomiendan para la incineración. 

Así pues, un féretro se considera ecológico en los países anglosajones, entre otras condiciones, si no contiene materiales plásticos, sustancias acrílicas o polímeros sintéticos; si se fabrica con materiales producidos y cosechados de manera ambientalmente sostenible; y si el transporte, tanto de los materiales al fabricante, como del producto al consumidor, no excede los 2.500 kilómetros. 

Uno de los ataúdes ecológicos más comunes en varios países europeos son los fabricados con materiales vegetales como el mimbre o el bambú. Se trata de productos artesanales de bajo impacto y sostenibles. Algunos de los cuales, además, están certificados como productos de comercio justo. 

Otra alternativa a los féretros de madera se encuentra en los ataúdes de cartón reciclado. El cartón ondulado permite fabricar ataúdes muy resistentes, capaces de soportar hasta 120 kilogramos. En Francia, la empresa ABCremation fabrica este tipo de cajones, homologados por la administración. De la misma forma, se venden por internet a unos 300 euros sin pintar y a unos 700 con decoración. 

Por su parte, en Reino Unido se fabrica el ecopod, realizado con la técnica del papel maché a base de periódicos viejos. Para las personas que escogen la cremación son ideales, puesto que suponen un ahorro implorante de energía y de emisiones.

ecopod

Mientras tanto, algún fabricante en Estados Unidos y en Europa ha testado los ataúdes elaborados con materiales textiles, tapizados con lana y una estructura de cartón reciclado o madera ligera. No solo eso, incluso fabricantes de países anglosajones han diseñado una idea alternativa al féretro tradicional para los entierros en bosques memoriales o incineración. Conocida como ‘tablero de entierro’, el mecanismo es tan simple como un tablero de madera local o fibras vegetales. Es, sin duda, la opción más ecológica, aunque todavía no muy aceptada. 

¿Están permitidos todos en España?

En cuanto a España, todavía queda un gran camino por recorrer, sobre todo teniendo en cuenta que el ataúd es el producto que encarece el servicio funerario. Esto se debe a que la ley vigente, aprobada en 1974, está tan obsoleta que dificulta la comercialización de cualquier féretro que no esté hecho de madera. 

Facilitar el acceso a los ataúdes ecológicos es la base para que los ecofunerales tomen impulso en nuestro país, como ya ha pasado en Estados Unidos y en otros países europeos. Especialmente porque es culpa de un mercado cerrado al cambio y no de falta de ideas. De momento hay dos fabricantes de ataúdes de cartón en España, RestGreen y Resistible, pero las funerarias no han permitido su comercialización hasta hace apenas unos meses. 

En este sentido, RestGreen lleva desde 2013 homologado y autorizado por el Ministerio de Sanidad como “ataúd ecológico biodegradable”. Este producto destaca por ser de los primeros féretros elaborados con cartón reciclado y biodegradable, pero también por su precio: ronda los 100 euros. Diez años después de que la empresa lo patentara, al fin ha conseguido colocarlos en el mercado.

Ataúdes ecológicos

Así, Eternam Funeraria Barcelona, una pequeña funeraria de Cataluña, ofrecerá entre sus servicios estos ataúdes ecológicos a partir de enero de 2021. Un pequeño triunfo de David contra Goliat.

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“No podemos volver a dormirnos y pensar que las cosas están resueltas ahora. Por el contrario, eso debería hacernos todavía más comprometidos a seguir presionando aún más. Los cambios solo sucederán si seguimos siendo muy muy molestos y repetimos estas cosas una y otra vez”. Esa contundente frase pertenece a la más reciente entrevista de Greta Thunberg, concedida a la prestigiosa revista que la nombró persona del año en 2019 por su lucha contra el cambio climático, la estadounidense Time. Mientras asiste a la escuela de forma virtual, la activista sigue a través de las redes sociales requiriendo un cambio estructural inmediato para salvar al planeta de la catástrofe ambiental. Su trayectoria como líder de las nuevas generaciones a las que le da voz es impecable con tan solo 17 años, pero ¿tienen los jóvenes ecologistas conciencia de la contaminación de un entierro? 

Desde que su figura se popularizó en 2018 al participar en una huelga escolar por el clima en los alrededores del Parlamento sueco, millones de personas en todo el mundo se han unido al movimiento Fridays For The Future (FFF). El año pasado Thunberg tampoco paró. Cruzó el Atlántico en barco para dar un discurso en la sede de la ONU en Nueva York, defendió los derechos de los indígenas en la cumbre del clima en Madrid y se reunió con líderes mundiales en el Foro Económico Mundial en Davos

Una lucha que sigue, pese al Covid-19

A causa de la pandemia ha tenido que limitar su activismo al formato remoto, si bien ni ella ni los ecologistas que la siguen han frenado su lucha. De hecho, en noviembre más de 350 jóvenes celebraron su propia cumbre climática virtual, Mock COP 16, volviendo a subrayar el mensaje de que la crisis climática sigue estando ahí sin resolver. 

La fuerza que han tomado FFF y Greta Thunberg en tan pocos meses es un síntoma claro de que algo ha cambiado en las nuevas generaciones respecto a la conciencia ecologista. Así pues, el movimiento verde ya no tiene nada que ver con aquella primera ola del ecologismo contemporáneo de los 60, a la que se puede tachar casi de contracultural por la escasa aceptación entre la sociedad en general, que miraba con desdén a un colectivo de activistas más bien escaso. 

Afortunadamente, con el desarrollo de los sistemas democráticos y el progreso de las libertades civiles, las organizaciones ecologistas lo han ido haciendo fuerte tanto a nivel internacional como nacional y local. 

No se mueven, por tanto, al margen de la sociedad. La regeneración de los recursos naturales, la preservación del medioambiente y la demanda de reducir la contaminación y mejorar la vida urbana son exigencias de la ciudadanía hacia las empresas y las instituciones, pero no han llegado a penetrar en ella por generación espontánea. Es un proceso de muchas décadas en las que se ha ido incorporando el ecologismo como una filosofía de vida, hasta el punto de que los jóvenes de la generación Z no conciben otra cosa que comprometerse con el planeta, y como tal asumen su responsabilidad. 

Comprometidos con casi todo

Gestos como el reciclaje, el ahorro de recursos y de energía, prescindir de recipientes de usar y tirar, etc., todo eso forma parte de su rutina, incluso sin haberla aprendido necesariamente de sus padres. De modo que lo mismo cierran un grifo para no malgastar agua cuando se lavan los dientes, que se manifiestan contra el cambio climático. 

En este sentido, en los últimos años la ética ecológica ha llegado también a la industria funeraria, sin embargo los jóvenes no tienen conciencia de la contaminación de un entierro, ni está entre sus prioridades. Eso sí, seguramente más por desconocimiento que por desinterés. Tampoco se los puede culpar, puesto que por regla general el 90% de la sociedad desconoce hasta qué punto contamina la muerte. 

Es cierto que desde hace cinco años han surgido alternativas más sostenibles a los entierros y a las incineraciones tradicionales, como los féretros de cartón reciclado, las urnas biodegradables o los bosques del recuerdo. No son buenas intenciones, es una realidad tangible a la que cualquier puede acceder fácilmente si lo desea. Desde 2013 DKV ofrece un servicio de decesos ecológico y certificado, el Ecofuneral, que asegura a quien lo contrate que su muerte dejará la menor huella ecológica posible en la Tierra. Además, una ley de 2002 obliga a evaluar el impacto ambiental de los hornos crematorios. 

funeral ecológico

No obstante, en la práctica, en proporción estas opciones son todavía anecdóticas si se comparan con todos los millones de servicios funerarios que se registran en España y en el mundo anualmente. Ni los jóvenes ni los no tan jóvenes tienen todavía conciencia de la contaminación de un entierro convencional. La tradición pesa, y cambiar de mentalidad supone un proceso lento que requiere tiempo. Pero igual que el ecologismo se ha incorporado a todas las parcelas de la vida, tarde o temprano conseguirá ganar su espacio en la muerte. 

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